Contrairement à l'oeuvre de Royer (Vercingétorix jette ses armes aux pieds de César), oeuvre du XIX° siècle teintée de romantisme et jalonnée d'anachronismes - véritable oeuvre de propagande nationaliste après une défaite cinglante, encore bien présente dans les esprits des Français en 1899.), le chef gaulois se soumet à Rome après avoir été désavoué par les siens lors du siège d'Alésia.
Il jette (peut-être) son arme aux pieds du conquérant, mais il ne chevauche pas un magnifique destrier blanc: il occupe une position basse et reconnaît sa défaite.
À suivre …
Ben & Dems